Action ontarienne contre la violence faite aux femmes prend cette occasion pour mettre l’accent sur l’importance de la sensibilisation aux répercussions dévastatrices du crime et de la mobilisation en soutien aux victimes et aux survivantes.
La Journée internationale des femmes est le moment de revenir sur la longue bataille toujours en cours pour les droits des femmes, la justice et l’égalité.
Selon Statistique Canada, l’Ontario est l’une des provinces où le nombre de cas de traite des personnes est le plus élevé, soit 65 % des cas enregistrés par la police de 2010 à 2020. En ce 22 février, Action ontarienne prend la parole pour rappeler l’importance de la sensibilisation à la traite des personnes.
Le 9 novembre, le ministère Femmes et Égalité des genres a dévoilé le tant attendu Plan d’action national pour mettre fin à la violence fondée sur le sexe. C’est un point de départ, mais si on ne réussit pas à financer les organismes en violence, sur le terrain, ce sera insuffisant pour assurer la pérennité après les 5 ans.
De 2009 à 2019, deux cas sur trois de traite des personnes signalés au Canada étaient en Ontario. À l’approche du 30 juillet, Journée mondiale de lutte contre la traite d’êtres humains, et grâce au financement du gouvernement de l’Ontario, Action ontarienne contre la violence faite aux femmes (Action ontarienne) a mis sur pied une nouvelle campagne de sensibilisation à destination des jeunes, Beaux mensonges.
Commenter la politique américaine ou internationale n’est pas notre genre. Notre mandat est de défendre les droits des femmes franco-ontariennes; nous limitons notre analyse aux décisions politiques et à l’actualité canadiennes et ontariennes.
En ce début de mois de mai, Action ontarienne contre la violence faite aux femmes (AOcVF) souligne le Mois de la prévention de l’agression sexuelle et incite le public ontarien à s’éduquer sur cet enjeu qui vise de façon disproportionnée les filles, les femmes et les personnes non binaires.