Publications

AOcVF vous présente ce regroupement de ressources pour les femmes aînées francophones en Ontario. Les outils se rapportent notamment à la maltraitance des personnes âgées, à la violence conjugale et aux agressions à caractère sexuel.

Ce document vise à aider les organismes offrant des services aux femmes aux prises avec la violence à organiser des ateliers virtuels plus sécuritaires avec la plateforme Zoom.

Ce livret a pour objectif de faciliter le témoignage à la Cour de la famille. Il s’adresse aux femmes aux prises avec la violence et aux intervenantes qui travaillent avec elles. Il répond à une série de questions qu’une femme peut se poser avant et pendant son témoignage pour lui permettre d’avoir une meilleure compréhension de base des notions de droit et des recours devant la Cour de la famille.

Executive Summary for the Provincial Conference on Family Law and Domestic Violence, held on October 8-9, 2019

Sommaire exécutif du Colloque sur le droit de la famille et la violence conjugale, tenu les 8 et 9 octobre 2019

Rapport du Colloque sur le droit de la famille et la violence conjugale en Ontario, tenu les 8 et 9 octobre 2019

Ce carnet d’accompagnement est un outil qui peut être utilisé dès le moment où une femme décide de quitter un conjoint violent, pendant le processus de la Cour de la famille et par la suite. Il s’agit de la version courte d’un document intitulé « Droit de la famille et violence conjugale — Guide de référence ». Il s’adresse aussi aux intervenantes qui travaillent avec elles.

Ce guide de référence s’adresse aux femmes qui veulent en savoir davantage sur le droit de la famille et sur la Cour de la famille alors que (1) vous vivez dans une relation de violence; (2) vous pensez sortir d’une relation de violence; (3) vous êtes déjà sortie d’une telle relation. Il s’adresse aussi aux intervenantes qui travaillent avec elles.

Le présent article recadre le traitement de choc comme une forme de violence contre les femmes. À partir de témoignages de femmes et de recherches scientifiques, l’article établit que ce type de traitement, que l’on administre beaucoup trop souvent aux femmes, entraîne des déficiences intellectuelles et physiques très importantes. Par Bonnie Burstow, Institut d’études pédagogiques de l’Ontario de l’Université de Toronto, Canada (texte traduit en français par Action ontarienne contre la violence faite aux femmes (AOcVF) avec l’autorisation de l’auteure).

Mémoire présenté par AOcVF en réponse au document de travail du Ministère de la Santé et des Soins de longue durée de l’Ontario « Chaque porte est la bonne porte » (novembre 2009)

Opposing Sexual Exploitation of Women: an Overview of Access in 3 Ontario Cities to Sites for the Sexual Exploitation of Women

En collaboration avec trois centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) de l’Ontario français, le Centre Novas de Prescott-Russell, le Centre Victoria pour femmes de Sudbury et Oasis Centre des femmes de Toronto, Action ontarienne contre la violence faite aux femmes (AOcVF) démontre dans ce rapport qu’il est très facile d’acheter et de vendre le corps des femmes en Ontario.

Analyse d’un article expliquant les conclusions d’une centaine d’études s’intéressant en tout ou en partie aux lesbiennes et ayant été réalisées principalement en France, aux États-Unis, au Canada, en Angleterre et en Suisse.

Les 25, 26 et 27 novembre 2014, Action ontarienne contre la violence faite aux femmes (AOcVF) a organisé des États généraux sur le développement des services en français (SEF) en matière de violence conjugale et d’agression à caractère sexuel. Les différentes discussions ont permis de faire ressortir plusieurs constats sur l’état des services en français, sur les enjeux de la violence faite aux femmes et sur les besoins, ainsi que de formuler des recommandations.

Les 25, 26 et 27 novembre 2014, Action ontarienne contre la violence faite aux femmes (AOcVF) a organisé des États généraux sur le développement des services en français (SEF) en matière de violence conjugale et d’agression à caractère sexuel. Les différentes discussions ont permis de faire ressortir plusieurs constats sur l’état des services en français, sur les enjeux de la violence faite aux femmes et sur les besoins, ainsi que de formuler des recommandations.

La Loi sur les services en français dans des cas de violence conjugale s’applique-t-elle en tout temps? (2014)

Les droits linguistiques des francophones de l’Ontario sont définis depuis plus de vingt ans dans la Loi sur les services en français. Malgré cela, beaucoup de femmes francophones victimes de violence n’ont pas accès à des services en français de qualité. Pourquoi?

La question des services en français, c’est une question complexe, difficile à cerner et à comprendre. C’est bien sûr une question de droits légaux, mais aussi de droits humains et de justice sociale. Ce guide permet de mieux comprendre les services en français en Ontario.

La question des services en français, c’est une question complexe, difficile à cerner et à comprendre. C’est bien sûr une question de droits légaux, mais aussi de droits de la personne et de justice sociale. Ce guide permet de mieux comprendre les services en français en Ontario.

L’histoire des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres et queer (LGBTQ) au Canada et ailleurs a été marquée par divers « moments juridiques ». Analyse de Julie Lassonde.

Julie Lassonde nous parle du texte traçant un bref historique des droits des communautés lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres et queer (LGBTQ) qu’elle a rédigé dans le cadre du projet d’AOcVF en collaboration avec la Collective lesbienne de l’Ontario.

Ce livret donne des pistes qui peuvent aider les victimes de harcèlement criminel. Vous y trouverez des éléments qui aideront à déterminer si vous êtes ou non harcelée; des informations sur la loi; des suggestions pour établir un plan de sécurité; des témoignages de femmes qui ont vécu du harcèlement criminel. Vous trouverez également des numéros à composer pour obtenir du soutien en Ontario.

Action ontarienne contre la violence faite aux femmes sought to carry out applied research in order to understand why the evaluation of the DVCP completed in July 2006 barely addressed the delivery of FLS. The evaluation wanted to measure the level of accessibility, the quality and the permanence of FLS that are currently provided within the DVCP. We attempted to gain insight into the issues and preoccupations concerning the French-speaking personnel working in the violence to women sector.

Cette recherche essaie de comprendre pourquoi « l’évaluation du Programme de Tribunaux pour l’instruction des causes de violence conjugale » avait si peu abordé la question du rendement des services en français. Action ontarienne contre la violence faite aux femmes a voulu mesurer elle-même l’accessibilité, la qualité et la permanence des services en français au sein des services PTICVC. Elle a également tenté de cerner les préoccupations et les inquiétudes des intervenantes francophones œuvrant dans ces services.

Présentation de Ghislaine Sirois concernant le rapport Des intervenantes engagées : le développement des services en français dans le secteur de la violence faite aux femmes, par Ghislaine Sirois, Linda Cardinal et Marie-Luce Garceau, 2016.

Ce rapport présente l’ampleur des comportements de harcèlement que les femmes subissent lorsqu’elles arrivent en milieu de travail. Pour certaines d’entre elles, le harcèlement est de nature sexuelle. D’autres subissent des situations d’abus au travail en raison de leur race, classe, handicap, orientation sexuelle, langue ou carence de citoyenneté canadienne. Le but de ce rapport est d’identifier l’ampleur du harcèlement et de la violence que subissent les femmes au travail et d’examiner les effets que cette expérience produit sur elles.

Ce guide explique ce que chaque travailleur et travailleuse, superviseur et superviseure, employeur et constructeur doit savoir au sujet des exigences de la Loi sur la santé et la sécurité au travail en matière de violence et de harcèlement au travail. Il indique les droits et les responsabilités de chacun et répond, dans un langage simple, aux questions les plus courantes concernant ces exigences.

How Rape Mythology in the Legal System Undermines the Equality Rights Of Women who Are Sexual Assault Survivors?

Cette étude s’inscrit dans la démarche d’identifier les besoins spécifiques à un groupe de femmes, notamment les femmes ayant des handicaps. Mais au-delà de l’accès aux services en matière de violence, l’étude veut aussi avoir une meilleure idée de la place que les femmes ayant des handicaps occupent dans les organismes du réseau d’AOcVF, en tant que travailleuses.

Pascale Ouellette vous invite à en apprendre davantage sur l’affaire R. c. D.A.I. La Cour suprême du Canada s’est prononcée sur l’habileté à témoigner des adultes ayant une déficience intellectuelle.

Réflexion autour de la transmission des informations et de la continuité dans un organisme.

Des milliers de femmes autochtones sont portées disparues au Canada. Deux études ont récemment été menées sur la disparition et l’assassinat de femmes autochtones au Canada.

Dans ce rapport, AOcVF veut faire valoir deux principaux points. Premièrement, elle souhaite mettre en relief et éclairer la dimension « violence faite aux femmes » dans la problématique de l’abus des femmes âgées afin que les femmes âgées victimes de violence conjugale et d’agression à caractère sexuel reçoivent les services appropriés et adaptés à leurs besoins. Deuxièmement, elle veut mettre en évidence l’efficacité des services en français dans la prestation de services aux femmes âgées francophones victimes de violence, tout en rappelant que la Loi sur les services en français en Ontario et des décisions de la Cour suprême du Canada donnent droit à des services en français de qualité dans les régions désignées.

En février 2002, le jury du coroner sur la mort de Gillian Hadley et de Ralph Hadley a déposé son rapport. Les recommandations reprennent celles émises suite à l’enquête May-Iles et du rapport du Comité mixte sur la violence familiale et représentent des remises en question du fonctionnement du système judiciaire. Le texte suivant résume les recommandations et fait une analyse de leur portée.

S’adressant aux intervenantes communautaires, cette recherche vise à les informer du fonctionnement de ces tribunaux spécialisés en violence familiale. Les sujets abordés dans le document : les modèles utilisés dans ces tribunaux, la situation de 2003, les enjeux, les recommandations à soumettre au gouvernement de l’Ontario.

Présentation faite le 24 mars 2009 à l’Assemblée législative de l’Ontario à propos du Projet de loi 133 : Loi modifiant diverses lois en ce qui concerne des questions de droit de la famille et abrogeant la Loi de 2000 sur la protection contre la violence familiale (24 novembre 2008).

Un document de réflexion en matière d’intervention féministe auprès des femmes et des enfants. Intervenir auprès des femmes et des enfants en situation de vulnérabilité et de violence demande une capacité de se remettre en question, et une tolérance de l’incertitude et de la complexité qui caractérisent ces situations de zones grises. Ce document de réflexion offre un outil en vue d’explorer et de décortiquer les situations de zones grises.

Les enfants exposés à la violence conjugale et les changements législatifs.

Needs Assessment Study: Shelter Services in the Hamilton-Niagara Region for Francophone Women and their Children who Are Fleeing a Violent Relationship.

Étude de besoins en matière d’hébergement pour les femmes francophones et leurs enfants fuyant une relation violente dans la région d’Hamilton-Niagara.

Needs Assessment Study: Shelter Services in the Toronto Region for Francophone Women and their Children who Are Fleeing a Violent Relationship.

Étude de besoins en matière d’hébergement pour les femmes francophones et leurs enfants fuyant une relation violente dans la région de Toronto.

Une tendance semble être perceptible par les personnes impliquées dans la lutte contre la violence faite aux femmes : de plus en plus de femmes sont mises en état d’arrestation et même accusées pour violence conjugale à l’endroit de leur conjoint ou conjointe. Qu’en est-il exactement ?

Le Centre Passerelle pour femmes a mené une étude relative au financement des services de soutien spécialisés auprès des enfants afin de faire connaître les besoins des maisons d’hébergement.

À l’heure actuelle, les médias sociaux se retrouvent partout dans la société. Ce guide aborde les notions de sécurité et de confidentialité sur les réseaux sociaux les plus courants, Facebook, Twitter, Pinterest et Instagram. Il suggère aux femmes des options pour améliorer leur sécurité. Deux tutoriels accompagnent ce guide : Ma sécurité sur Facebook et Ma sécurité sur Twitter.

Ce document vise à sensibiliser les intervenantes du réseau de l’AOcVF au lien qui existe entre les problèmes de santé mentale et l’agression à caractère sexuel dans l’enfance ainsi qu’à l’expérience vécue par les femmes psychiatrisées. Il vise également à offrir des connaissances de base concernant la psychiatrie et le domaine de la santé mentale.

Comment les mythes associés au viol dans le système judiciaire portent atteinte aux droits à l’égalité des survivantes d’agression sexuelle?

Pascale Ouellette fait un compte-rendu d’une formation portant sur la santé mentale et les survivantes d’agression sexuelle. Cette formation s’est tenue à Ottawa le 24 avril 2012 et était organisée par le CALACS francophone d’Ottawa, en collaboration avec l’Institut de formation en matière de violence faite aux femmes d’Action ontarienne, dans le cadre de la semaine nationale de sensibilisation aux victimes d’actes criminels.

Cliquez ici pour également lire le document.

Madame Agnes Jane Whitfield, une anglophone de Peterborough en Ontario, victime d’agressions sexuelles, de l’âge de 4 à 18 ans, de la part de son frère Bryan Whitfield, a multiplié les démarches depuis le dépôt de sa plainte en 2002, puis dans sa cause au civil, afin d’obtenir un procès bilingue.

Action ontarienne contre la violence faite aux femmes (AOcVF) présente un bilan des développements qui se sont produits dans le secteur de la violence faite aux femmes (VFF) en Ontario français.

Résumé des différents constats et recommandations du rapport d’enquête, dirigée par l’ancienne juge à la Cour suprême du Canada, Marie Deschamps et publié le 30 avril 2015 sur la violence à caractère sexuel dans les Forces armées canadiennes (FAC).

Les agressions sexuelles sont les crimes les moins dénoncés à la police au Canada et lorsqu’un cas va jusqu’au procès, très peu d’agresseurs sont condamnés. En étudiant les statistiques disponibles et le traitement des agressions sexuelles dans le système criminel, on peut identifier les failles et comprendre les barrières auxquelles font face les survivantes.

Recherche-action menée pour la Maison Interlude House (MIH), maison d’hébergement pour femmes violentées et leurs enfants dans l’est ontarien sur la manière de mieux desservir les jeunes mères monoparentales qui avaient déjà été hébergées avec leurs mères, alors qu’elles étaient enfants afin d’éviter qu’une troisième génération soit à son tour hébergée à cause du cycle de la violence conjugale.

Vidéo à destination des enfants pour expliquer ce qu’est une maison d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale.

Vidéo à destination des enfants pour expliquer ce qu’est un plan de sécurité.

Vidéo à destination des enfants, des adolescents et des mères aux prises avec la violence conjugale.

Cette vidéo présente des témoignages d’enfants, d’adolescents et d’adolescentes ayant été exposées à la violence conjugale. Ce que ces jeunes en pensent, ce qu’ils ont ressenti, ce qu’ils ont fait pour passer au travers ces moments difficiles.

La vidéo a pour objectif de : sensibiliser les femmes aux signes indicateurs d’une possible agression à caractère sexuel chez les enfants, informer les femmes sur les objectifs de l’aide professionnelle destinée aux enfants et donner quelques outils permettant aux femmes d’appuyer leurs enfants.

Le consentement, c’est compliqué ? Pas vraiment. On explique ce concept à travers des situations simples de la vie quotidienne.

Johanne Ouimette explique la mise à jour de la loi sur l’accessibilité en Ontario à partir de janvier 2012.